- Vol libre : Pour faire un lâcher d'un ballon
solaire de petit diamètre (en général de 4 m de diamètre),
il est nécessaire de respecter la législation.
Consultez la page : Réglementation
aérienne pour les ballons libres non habités de la catégorie
"léger"
- Vol captif : Il est très difficile de connaître
la réglementation qui s'applique !
Consultez la page : Réglementation
aérienne pour les ballons captifs inhabités
- Vol libre :
3 statuts possibles :
Le ballon solaire de Laurent Besset a obtenu la carte d'identification ULM
classe 5 - Aérostat motorisé et la fiche d'identification ULM
(délivrées par la DGAC Centre-Est le 7 Janvier 2003).
La motorisation est un servomoteur Hitech 11N/cm qui permet de réguler
la vitesse verticale de montée / descente par fermeture / ouverture de
la soupape. Mais ce n'est en rien comparable avec la motorisation d'un ULM classe
5 (dirigeable ou montgolfière)...
Il n'y a pas d'instructeur "ballon solaire" donc pas de brevet...
donc pas d'assurance !.
Le ballon solaire n'est pas un ULM,
Le ballon solaire n'est pas un planeur,
Le ballon solaire n'a pas de statut d'aéronef adapté !
Aucun assureur aérien ne veut assurer les vols puisque ça ne
rentre pas dans les cases de la DGAC...
donc le vol libre humain sous ballon solaire n'est pas possible !
Les essais en vol captif et en vol libre se sont arrêtés en 2003.
- Vol captif : Pour l'instant, nous sommes donc limités
au vol captif
mais jusqu'à quelle altitude ? .
Dans l'Arrêté relatif aux manifestations aériennes
du 4 Avril 1996, il est précisé dans l'annexe 3.8 :
"Les ascensions de ballons captifs s'effectuent de façon que le
sommet de l'enveloppe n'excède pas une hauteur de 50 mètres. Une
hauteur comprise entre 50 et 150 mètres peut être accordée
après avis spécifique du directeur de l'aviation civile ou de
son représentant local."
mais ce texte s'applique aux évolutions d'aéronefs avec l'intention
d'offrir un spectacle au public....